- Avis Rédaction 15.38 /20
Avec sa gamme i, BMW a été prompt à rejoindre le monde de la propulsion alternative. Et si la petite i3 (entièrement électrique ou avec prolongateur d’autonomie) et l’hybride plug-in i8 sont des véhicules complètement différents (en termes de positionnement et de tarifs!), cela ne les empêche pas d’avoir de nombreux points communs, dont la structure portante en plastique renforcé de fibres de carbone (CFRP) constituant une sorte de «baignoire» à laquelle le châssis principal en aluminium est fixé. La raison de cette étape technique était de gagner de précieux kilos, histoire de compenser une partie de la masse des lourdes batteries. Aujourd’hui, BMW a déjà vendu plus de 100.000 i3 et quelque 13.600 i8, mais compte tenu des énormes investissements requis par le projet i, les Munichois n’ont pas encore pu atteindre une forte rentabilité via ce programme. C’est pourquoi le département i a levé le pied: les vrais nouveaux modèles ne sont pas attendus avant 2020. Après un peu moins de 4 ans, BMW a toutefois retravaillé son i8 (tout comme l’i3 d’ailleurs) et le dote d’une batterie de plus forte capacité et de moteurs électriques plus puissants. Parallèlement arrive un Roadster, dans lequel les sièges arrière d’appoint ont cédé la place à un mécanisme de toit escamotable plutôt sophistiqué.
- Look et exclusivité
- Rapport performances/consommation
- Comportement sûr et efficace
- Plaisir de conduite intact
- Qualité perçue, finition
- Prix délirant
- Rendu de direction artificiel
- Sous-vireuse à la limite
- Volume de coffre quasi inexistant
- Progressivité des freins (carbone)
- Accès à bord peu aisé
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