- Avis Rédaction 14.00 /20
Ne tournons pas autour du pot: cette Série 2 Cabrio n’est pas totalement nouvelle, bien qu’elle fasse pour la première fois son apparition au catalogue BMW. Elle succède à la Série 1 Cabriolet, en application de la nouvelle politique de désignation de ses modèles adoptée par la marque bavaroise, qui veut que les coupés et cabriolets soient désormais désignés par un chiffre pair, les berlines, breaks et leurs dérivés ayant droit à un chiffre impair. Les responsables du marketing BMW comptent bien que les séries «paires» bénéficieront d’un supplément de prestige aux yeux de la clientèle, qui sera dès lors prête à accepter des tarifs en rapport, plus élevés, bien entendu, que ceux d’une Série 1. Reste que, n’en déplaise aux gourous du marketing, la Série 2 n’est jamais qu’un coupé ou un cabriolet techniquement dérivé de la Série 1. A priori, la couleuvre paraît difficile à avaler. Soit. La Série 2 Coupé a été lancée voici un an et existe maintenant aussi en Cabriolet. Ainsi que nous le signalions dans notre premier essai (Le Moniteur Automobile n°1596), les Belges sont manifestement friands de cabriolets 4 places: notre pays a constitué le cinquième marché le plus important au monde pour l’ancienne Série 1 Cabrio, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et l’Allemagne. Cela s’explique aussi en partie par le fait que les pays asiatiques et la Russie ne sont que peu demandeurs de cabrios. Reste que notre pays devance ici des pays comme la France ou les Pays-Bas, ce qui en surprendra sans doute plus d’un!
- Vraie sensation de cabriolet
- Association moteur-boîte
- Possibilités d’équipement
- Moteur à la personnalité agréable
- Excellente ergonomie
- Volume du coff re par rapport à la Série 1 Cabrio
- Pompages sur les revêtements bosselés
- Insonorisation (moteur et roulement)
- Visibilité périphérique
- Tarif costaud
- Habitabilité à l’arrière
Dans cet article : BMW, BMW Série 2