- Avis Rédaction 15.00 /20
La carrière de la R8 est intimement liée à celle de la «petite» Lamborghini, la Gallardo, qui fit ses débuts en 2003, 5 ans après le rachat de la marque de Sant’Agata Bolognese par Audi. La première était très allemande, la seconde très italienne. En toute logique, structurellement et architecturalement, ces deux coupés ultrasportifs à moteur arrière étaient très proches. Ils avaient une coque en alu et une transmission intégrale. Après tout, les deux constructeurs sont régis par le même conseil de surveillance et des intérêts communs. Les ingénieurs allemands avaient tout à dire chez Lambo. Pourtant, la Gallardo aura eu la préséance du V10, d’abord un 5 litres (520 ch) dérivé d’un V8 de 4 litres, suivi en 2008 par le 5,2 litres de 560 ch (dérivé, lui, du V8 de 4,2 litres) que nous connaissons aujourd’hui, tous moteurs élaborés par Audi. En 8 ans, la R8 s’est vendue – tous moteurs confondus, coupé et spyder – à près de 27.000 unités, soit presque 2 fois plus que de Gallardo en 10 ans (14.022 exemplaires, coupé et spyder).
- Auto de course déguisée en coupé de luxe
- Un absolu en performance, comportement…
- Un absolu en confort, luxe et équipement
- Qualité et finition exceptionnelles
- Bonne garde au sol, utilisable au quotidien
- Le top du top en multimédia et connectivité
- Pourquoi faire léger puis rajouter des kilos?
- Options cosmétiques excessivement chères
- N’a pas le charisme d’une Ferrari, Porsche…
- Consommation réelle (malgré CoD, etc.)
- Décote plus qu’une Porsche ou une Ferrari
- Un peu froide stylistiquement
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