- Avis Rédaction 15.55 /20
Anecdotique il y a 10 ans, la mode du SUV coupé (à 5 portes) a vu le nombre de ses adeptes croître progressivement. C’est aussi le cas dans le catalogue d’Audi. Après le chef de file Q8, qui a droit à son propre numéro pair, le Q3 coupé conserve le numéro impair de son donneur d’organes, mais s’en différencie par le sobriquet Sportback. Par rapport aux «SUC» de BMW, le spécialiste du genre, ce Q3 Sportback (4,50 m) se glisse entre les X2 (4,36 m) et X4 (4,75 m). Le premier SUV étiqueté Sportback doit sa ligne virilisée au coup de crayon… féminin de Seulah Park, la première femme à signer le style d’une Audi. Au premier coup d’œil, cette version sportive se caractérise par une calandre en nid d’abeilles, un pare-brise légèrement plus incliné, une chute de pavillon plus marquée, des hanches plus musclées et un pare-chocs arrière suggestif souligné par un diffuseur digne d’un modèle griffé RS. Une plastie qui relève, si l’on se fie aux nombreux commentaires positifs reçus lors de cet essai, le sex-appeal du Q3, plutôt bon chic bon genre dans sa version civile. Et dont les honoraires de transformation sont facturés 1.500 €.
- Présentation et finition
- Direction à pas variable réussie
- Accord moteur-boîte
- Performances soutenues
- Aspects pratiques conservés
- Consommation à surveiller
- Endurance des freins
- Tarif élitiste, prix des options
- Garde au toit et accès aux places arrière
- Comportement centré plus rassurant que plaisant
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