Pour motoriser sa nouvelle Micra, dorénavant produite en France et non plus en Inde, Nissan est allé puiser dans la banque d’organes du partenaire Renault. Compte tenu de ses nouvelles dimensions et de son positionnement voulu plus polyvalent, la Micra s’est ainsi ouvert aux mécaniques Diesel (1.5 dCi 90) dès son lancement. En essence, jusqu’ici, on retrouvait le non moins connu trois cylindres turbocompressé 0.9l TCe 90 également d’origine Renault. En guise d’entrée de gamme, Nissan avait annoncé l’arrivée d’un bloc trois cylindres essence atmosphérique 1.0 l de 71 ch (95 Nm). Un moteur dorénavant disponible officiellement. Si ses performances restent assez moyennes, avec notamment un 0 à 100 km/h couvert en 16,4 s et une vitesse de pointe de 154 km/h, il permet tout de même de profiter d’un prix plus intéressant pour séduire les petits rouleurs et autres citadins. Ses émissions de CO2/km oscillent entre 103 g et 108 g.
1000 € de moins que le TCe
En pratique, cela permet de repartir au volant d’une Micra essence pour un tarif inférieur de 1 000 € par rapport au bloc trois cylindres turbo : 15.190 € contre 16.190 € sur Visia+. Ce moteur permet, en outre, de bénéficier d’un prix d’attaque de moins de 14.000 € puisqu’il est disponible dans la variante d’accès Visia, assez dépouillée, qui lui est réservée. Pour un équipement plus complet, on pourra également commander le 1.0 l 71 ch en Acenta (15.990 €). Par contre, les exécutions N-Connecta et Tekna, plus richement équipées, sont indisponibles avec ce moteur d’accès. On attend, par contre, toujours que Nissan propose une boîte automatique (de type CVT) ainsi que des moteurs plus puissants sur sa Micra comme annoncés lors du lancement. Patience…
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