Une capote en toile, 4 places, un bloqueur de vent et une écharpe en flux d’air : la Mercedes Classe C Cabrio dévoilée à Genève récupère la philosophie de la Classe E, mais avec un niveau de tarif un peu moins gourmand. Il faut dire que le constructeur de Stuttgart a maintenant décidé de proposer des déclinaisons tous azimuts de chaque classe : break, SUV, berline, coupé, cabriolet… Dès lors, la Classe C devait aussi passer à la décapotable, en se basant sur le Coupé. Elle s’ajoute donc à l’offre des 4-places E Cabrio et S Cabrio.
Même pas froid
L’opération de décapotage ou capotage prend 20 s en appuyant sur le bouton ad hoc. Une manipulation qui peut se faire en roulant, mais à maximum 50 km/h. Capote fermée, la Classe C Cabrio affiche un coefficient de pénétration dans l’air de 0,28. Par contre, cheveux au vent, l’aérodynamique évolue, notamment avec l’Aircap. Ce système est un petit déflecteur qui vise à diminuer les turbulences pour les occupants du véhicule. Quand le fond de l’air est frais, les passagers avant ont aussi droit à l’Airscarf. Il s’agit d’un flux d’air chaud au niveau de la nuque et du coup : « une écharpe d’air ». Le coffre de 360 l passe à 285 l lorsque le toit est plié.
Du choix
L’amortissement actif est de série alors que le système hydraulique Airmatic est une option, tout comme le Dynamic Select. Mercedes ne lésine pas sur les choix des motorisations, calqué sur celui du coupé. En essence, le catalogue offre la C 180 de 156 ch, la C200 de 184 ch, la C250 de 211 ch, la C300 de 245 ch et la C400 de 333 ch. En Diesel, il y a la C220d de 170 ch et la C250d de 204 ch. Et puis, il y a la Mercedes-AMG C43 Cabrio au V6 biturbo de 367 ch. Pas de traces, par contre d’une C 63 AMG.
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