En développant sa plateforme E-GMP, Hyundai avait clairement la volonté d’exploiter au maximum les possibilités de cette architecture à la pointe sur le plan technologique. Outre les Ioniq 5 et Kia EV6, Hyundai envisage de décliner sa gamme Ioniq vers le bas avec en perspective un remplaçant à l’actuel Kona électrique.
800 V et mises à jour OTA
Avec son architecture 800 V et la possibilité d’accueillir des packs de batteries de forte capacité, Hyundai pourrait à nouveau frapper un grand coup en proposant un modèle Ioniq plus petit, de type crossover, pour succéder à l’actuel Kona électrique qui exploite une plateforme multimodale qui accueille également des motorisations thermiques.
La plateforme E-GMP permettrait de profiter des avantages d’une architecture en 800 v qui autorise la recharge ultra-rapide de 240 kW et permet une fonctionnalité V2L – Vehicle to Load – qui transforme la voiture en source d’énergie pour alimenter des appareils, etc. En outre l’E-GMP offre une grande connectivité et la possibilité d’effectuer les mises à jour logicielles à distance selon le principe OTA (Over The Air).
Le petit d’une gamme élargie
Celui qui s’appellerait alors Ioniq 2,3 ou 4 se placerait sous la Ioniq 5 actuelle et s’intégrerait à une gamme qui comprendra bientôt la berline Ioniq 6 prévue fin 2022 et le futur SUV de taille moyenne Ioniq 7 qui devrait arriver en 2024.
Il se placerait face aux précurseurs du segment que sont les Peugeot e-2008 et Opel Mokka-e, tandis que sa probable déclinaison berline « classique » affronterait les Peugeot e-208, Opel Corsa-e ou future Renault 5 électrique. Sans oublier la triplette du groupe Volkswagen dont le premier exemple a été présenté sous forme de concept car avec le Volkswagen ID Life.
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