La Valkyrie symbolise le retour de la marque anglaise en sport automobile. Elle doit prendre part au Championnat du monde d’endurance avec, comme rendez-vous phare, les 24 h du Mans. Une version de route de la belle est également au programme avec comme motorisation un V12 atmosphérique aidé par une assistance électronique pour développer la bagatelle de 1200 ch. Forcément, l’hypercar utilise une grande quantité de carbone pour garder une masse réduite ainsi qu’un aérodynamisme très impressionnant pour la plaquer au sol.
Changement de propriétaire
Cette aérodynamique de pointe est d’ailleurs l’un des atouts majeurs de la Valkyrie qui doit être codéveloppée avec Adrian Newey et Red Bull. Mais voilà, depuis le début du projet, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et Aston a même changé de propriétaire. Lawrence Stroll, milliardaire canadien, a racheté la société et un partenariat avec Mercedes-AMG a été signé. Le Canadien préférant la Formule 1 à l’endurance, la marque anglaise fera son grand retour dans la discipline reine. Du coup, difficile pour Red Bull d’honorer le développement d’une voiture avec un concurrent.
Difficile à conduire
En plus de ces changements de plans concernant la compétition automobile, il semblerait que la voiture rencontre des problèmes de développement et soit un véritable enfer à conduire. Pas terrible pour une hypercar de plus de 1000 ch. La marque anglaise va-t-elle poursuivre coûte que coûte son développement ou se concentrer sur son récent DBX afin de sortir la tête de l’eau ? Du côté d’Aston Martin, on continue malgré tout de poster des annonces sur la Valkyrie comme ces quelques clichés d’essais routiers.
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