Conclusion
Les réponses reçues démontrent globalement que les femmes et hommes politiques sont prêts à repenser la mobilité et que la voiture, si elle ne disparaîtra pas, va devoir s’adapter à un environnement qui lui sera de moins en moins favorable. Autrement dit : l’ère du « tout voiture » touche à sa fin. C’est en matière de fiscalité que nous avons noté les plus grandes divergences entre partis. Il faut également noter que les francophones sont nettement plus ouverts à une harmonisation et à une refédéralisation en matière de mobilité que leurs homologues néerlandophones (rendez-vous sur autogids.be ou dans la version néerlandophone du magazine pour connaître les réponses des partis flamands). Enfin, si les alternatives à l’automobile semblent s’imposer à leurs yeux, on constate parfois que certaines réponses semblent stéréotypées, notamment pour la voiture électrique.
Le CNG est parfois évoqué, tout comme l’hydrogène, mais sans que cela ne démontre forcément une vision et une compréhension claires de toutes ces technologies ce qui donne à penser que certains discours lobbyistes sont parfois reproduits sans recherches supplémentaires. Quoi qu’il en soit, vous disposez maintenant des orientations des principaux partis pour ces élections (européennes, fédérales et régionales) du 26 mai. Celles-ci s’annoncent tendues et complexes dans une société en plein bouleversement, marquée par des tensions internationales, des manifestations diverses – notamment pour le climat et contre la hausse du coût de la vie – et par un monde politique assez nerveux face aux différents enjeux qui se présentent à eux… Encore une fois, bon vote !
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