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La version break de la dernière Peugeot 308 est toujours baptisée SW. À 4,64 mètres, ce break est 28 cm plus long que la berline, un accroissement qui profite à l’empattement et au porte-à-faux arrière. Résultat: le coffre est spacieux, avec plus de 600 litres sous le cache-bagages et jusqu’à 1.634 litres si l’on rabat les dossiers arrière (fractionnés en trois parties: 40/20/40). Mais la batterie des versions hybrides plug-in et de la full électrique mange 60 litres de coffre. L’habitacle est identique à celui de la berline, avec de beaux matériaux, mais l’espace à l’arrière reste assez compté. Le combiné d’instruments digital est de série, tout comme le gros écran tactile central de 10,5’’.
La gamme de moteurs est variée : à côté de la version électrique de 156 ch, on trouve aussi le 1.5 Diesel 130 ch à boîte automatique 8 vitesses, ainsi que le 1.2 Turbo à essence qui, contrairement aux cousines Citroën C4 et Opel Astra, n’est proposé ici qu’en version micro-hybride de 136 ch, pouvant par moments rouler en mode tout électrique. Mais pas aussi longtemps que la version hybride plug-in (1.6 turbo à essence + électrique, 180 ch) qui peut parcourir jusqu’à 66 kilomètres en mode électrique. Dans tous les cas, la tenue de route fait honneur à la réputation de Peugeot, avec un train avant tranchant et une direction offrant un bon ressenti (mais dont le centrage aurait pu être meilleur).
La 308 break a grimpé un échelon, tant en matière d’habitabilité que de finition et de technologie. Et, en bonne Peugeot, elle roule toujours très bien. Bref, on retrouve les qualités de l’ancien modèle, mais avec davantage de raffinement et de douceur. Et la gamme de moteurs est bien pensée.