Premier essai / Volkswagen Golf Cabrio 1.4 TSI 160
On la croyait relevée de ses fonctions par l’Eos et son toit rigide escamotable. Il n’en est rien. La Golf Cabriolet reprend du service avec une capote souple... et sans arceau. Retour gagnant ?
Un temps redevenue l'apanage des automobiles dites "haut de gamme", celles qui dormes généralement bien à l'abri des intempéries et des dégradations dans des garages privés, la capote souple fut proprement mise au placard par Volkswagen (sauf pour la Beetle, pour laquelle elle restait évidemment incontourna- ble) il y a une petite dizaine d’années.
Fin 2005, et alors que la Golf Cabrio IV (toujours construite sur la plateforme d’une Golf Cabrio III!) n’était plus produite depuis 2002, on a ainsi vu apparaître le Coupé-Cabriolet Eos, son remplaçant tout désigné, développé pour s’attaquer de front à la nouvelle classe moyenne découvrable (308 CC, Mégane CC, Astra CC...) totalement conquise par les toits rigides articulés.
Si cette tendance aux couvre-chef renforcés fut sans aucun doute à l’origine du redéploiement de l’offre, donc aussi du regain d’intérêt de la part des acheteurs pour le marché des cabriolets, force est pourtant de constater que, quelques années plus tard, les constructeurs (et vraisemblablement aussi les clients) commencent tout doucement à se lasser. Sans doute parce que la sensation de liberté, si prisée des amateurs du genre, reste difficilement conciliable avec un toit dur compliqué à replier et relativement lourd à transporter. D’où ce revirement de Volkswagen en faveur de la Golf toilée.
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen Golf
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