Premier essai / Rolls-Royce Ghost Black Badge : Back in black
Le cuir, le bois et le craftmanship typiquement anglais, voilà ce qu’on associe à Rolls-Royce. Mais avec la série Black Badge, la marque embrasse son côté sombre. Le lord serait-il devenu rappeur?
De tous les constructeurs automobiles britanniques, s’il y en a un qui est plus british que british, c’est bien Rolls-Royce. Bien que la marque appartienne au groupe BMW et n’ait donc plus d’anglais que son nom et son usine d’assemblage, elle représente dans le monde entier le luxe à l’anglaise. Des véhicules opulents, confortables avant tout, faits à la main à partir de matériaux précieux et arborant fièrement le Spirit of Ecstasy sur leur calandre. Sans pour autant se détacher de cette image, la marque désire agrandir son public, voire le rajeunir, en visant ainsi à plaire plus aux cheikhs d’Abu Dhabi ou aux rappeurs de Los Angeles qu’au prince de Galles.
- Raffinement, artisanat british maintenu
- Confort d’exception
- Gain de performances
- Supplément de 39.000 €
- Démesure à son paroxysme
- Fibre de carbone: un matériau luxueux?
Dans cet article : Rolls-Royce, Rolls-Royce Ghost
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