Premier essai / Porsche Boxster
Dans la foulée du Cayman, le Boxster de Porsche reçoit lui aussi son lot d'évolutions : cylindrées accrues, injection directe (pour le S), boîte PDK et... vrai différentiel autobloquant.
Le nouveau Boxster se distingue d'emblée de l'ancien. Des détails, par rapport aux évolutions qu'ont subies les flat-six dans la foulée de ceux du Cayman. À l'instar de ce dernier, le moteur de base voit ici sa cylindrée portée à 2.9 litres et est désormais accouplé à une boîte mécanique à 6 rapports. Cela donne 255 ch à 6400 tr/min et 290 Nm entre 4400 et 6000 tr/ min, soit respectivement une hausse de 10 ch et 17 Nm. Le «S», mû par le 3.4 litres qui profite dorénavant de l'injection directe, passe à 310 ch à 6400 tr/ min et 360 Nm de 4400 à 5500 tr/min (à comparer aux 295 ch et 340 Nm de la génération précédente). En prime, ces nouveaux moteurs répondent d'ores et déjà aux normes Euro 5.
Agile et précis, le Boxster 2009 bénéficie d'une direction légèrement retravaillée pour réduire l'effort au volant lors des manoeuvres, mais sans se départir des incroyables qualités qu'on lui connaissait déjà. La suspension active PASM - qui équipait notre véhicule d'essai - filtre parfaitement les irrégularités et offre un maintien de caisse excellent.
Plus puissante, moins gourmande et toujours un peu mieux armée, la baby-Porsche s'aligne sur les évolutions qu'ont reçues dernièrement les 911 et Cayman. Visiblement, elles vont dans le bon sens
Dans cet article : Porsche, Porsche Boxster
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