Premier essai / Mazda 2 : Quel complexe de Calimero?
Le remodelage de la 2 n’a rien de tape-à-l’œil. Ce sont plutôt les détails qui en font un modèle encore plus économique, luxueux et raffiné. Pas de doute, la petite 2 a encore gagné en maturité.
Renault Clio, Peugeot 208, Opel Corsa... Un vent de nouveauté souffle sur le segment des citadines. Et pour un constructeur comme Mazda, ce n’est pas nécessairement facile de rester «présent». Cela dit, se contenter de meubler le segment n’est pas dans la mentalité japonaise. Mazda a donc décidé de revoir sa petite «2» afin, essentiellement, de peaufiner sa finition et d’offrir une expérience plus qualitative. Cette tendance consistant à proposer des citadines plus adultes n’est pas nouvelle. Vous aussi, vous trouvez que la 2 possède encore une silhouette un peu à l’ancienne? Cette impression découle essentiellement de sa ligne de toit assez haute. L’avantage, avec aussi une longueur de 4,2 mètres, c’est que ce choix garantit un intérieur bien spacieux. En revanche, Mazda n’a pas profité de ce remodelage pour réduire la hauteur du seuil de chargement. Dommage. Le lifting en question concerne surtout la calandre, plus vaste, et l’arrivée de nouveaux blocs optiques à l’arrière. Au volant, les nouveautés sont cependant davantage perceptibles.
- Finition
- Qualités du châssis
- Habitabilité
- Seuil de chargement élevé
- Manque de couple
- Amortissement ferme
Dans cet article : Mazda, Mazda Mazda2
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