Premier essai / Ferrari Roma : La force de l’élégance
Pas de couleurs criardes ni d’appendices aérodynamiques voyants ou de prises d’air évocatrices: la Roma joue la carte de la retenue, ce qui n’est pas courant pour une Ferrari. Du moins jusqu’à ce que l’on appuie sur le démarreur pour réveiller les 620 ch de son V8...
Depuis que Ferrari a révélé les premières images de la Roma, à la fin de l’année dernière, son style a suscité bien des commentaires. Pour certains, elle ne serait pas une vraie Ferrari parce qu’elle ressemblerait trop à une Aston Martin ou même à une Jaguar F-Type. À tous ces sceptiques, nous ne pouvons que conseiller d’attendre d’avoir vu l’auto «en vrai» avant d’émettre des jugements péremptoires… Car on ne peut alors qu’admettre que la Roma, avec sa silhouette sensuelle, n’a pas son pareil en termes d’élégance parmi les Ferrari actuelles.
La sobriété a été le maître-mot au moment de définir les lignes de la Roma. Chez elle, aucune prise d’air superflue ne vient altérer la pureté du dessin, tandis que les appendices aérodynamiques ont été intégrés de façon remarquablement discrète. Même l’aileron arrière fait dans la modestie: il ne se déploie qu’à partir de 100 km/h. Et pas de chance pour les frimeurs, il n’y a aucun bouton pour le faire sortir manuellement de son logement. On trouve par ailleurs entre les roues avant les générateurs de vortex, qui ont pour mission de canaliser le flux d’air sous le plancher, hermétiquement clos, jusqu’au diffuseur arrière.
- Plaisir de conduire intense
- Polyvalence bien réelle
- Technologie dernier cri
- Places arrière inutilisables
- Utilité de l'écran du passager?
- Prix...
Dans cet article : Ferrari, Ferrari Roma
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