Premier essai / BMW 118i
Si la Série 1 reste fidèle au sacro-saint principe de la propulsion, elle double désormais son dynamisme routier de précieux progrès dans des domaines aussi essentiels que le confort ou l’habitabilité.
Depuis sa sortie en 2004, la Série 1 et ses dérivés (coupé et cabrio, version M) se sont vendus comme des petits pains. Avec 1,2 million d’unités écoulées en 7 ans, le modèle est même devenu le troisième d’importance derrière les Série 3 et 5.
Il faut dire que cette compacte a su séduire. D’abord avec ses proportions avantageuses et, ensuite, avec son architecture de propulsion qui faisait d’elle une authentique BMW. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que la marque bavaroise prolonge l’expérience de celle qu’on appelait la «petite» Béhème, tout en sachant que celle-ci n’aura bientôt plus rien d’un ticket d’entrée puisqu’en 2013, une citadine basée sur la plateforme de la Mini - lisez une traction – sera lancée aux côtés de la i3 électrique.
Dans cet article : BMW, BMW Série 1
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