Premier essai / Audi A5 Cabriolet 2.0 TFSI : cabriolet toutes saisons
Dans le sillage des Coupé et Sportback, l’Audi A5 Cabriolet arrive à point nommé. D’une simple pression sur un bouton, on peut désormais tomber la capote et profiter de l’agrément du 2.0 TFSI pour flâner au volant… ou tailler quelques trajectoires. Voyons cela.
Reconnue comme l’une des plus belles silhouettes de la production automobile de ces dernières années, l’A5 a permis à Audi d’affirmer son style et de renforcer son identité. Les esthètes ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, préférant souvent les lignes fluides et pures du coupé d’Ingolstadt à celles plus anguleuses préférées par BMW. En cabriolet, Audi se démarquait encore un peu plus de l’autre Bavarois en conservant la toile souple, certes un peu plus vulnérable dans l’absolu qu’un toit rigide articulé – comme celui de la Série 4–, mais garante d’une élégance plus naturelle. La seconde mouture ne bouleverse rien. Sauf peut-être sur le plan technique, où l’A5 Cabriolet profite d’une coque complètement repensée, à la fois plus légère (le modèle a maigri d’environ 40 kg à version comparable) et plus rigide (40% de résistance supplémentaire à la torsion), deux éléments sensibles pour le bon comportement d’une auto.
- Comportement routier rigoureux, rigidité du châssis
- Transmission quattro efficace et rassurante
- Confort acoustique, avec ou sans capote
- Agrément, souplesse du 2.0 TFSI
- Finition et ergonomie
- Habitabilité à l'arrière (forcément) plus limitée
- Boîte S tronic parfois hésitante
- Consommation à surveiller
- Tarif coquet
- Options nombreuses et chères
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