Essai détaillé / Range Rover Velar D240 : Sculptural !
Quatrième membre de la lignée Range Rover, le Velar a toutes les chances de rééditer le carton de l’Evoque. Car, comme ce dernier, il peut déjà compter sur une ligne aussi sculpturale que spectaculaire, signée Gerry McGovern.
- Avis Rédaction 14.91 /20
L’Indien Tata, patron du groupe Jaguar Land Rover, doit se frotter les mains d’avoir laissé carte blanche aux marques anglaises pour se redévelopper après leur rachat. Car le rideau de l’année 2016 est une nouvelle fois tombé sur un record de ventes avec plus de 583.000 unités écoulées – dont 434.000 Land Rover –, soit une croissance de près de 20% par rapport à 2015. Cette grande forme s’explique en partie par l’intelligente diversification des marques et à certains «gros coups» menés de main de maître. Comme avec l’Evoque, le surdoué de la bande des Range, qui s’est écoulé à plus de 450.000 exemplaires. Fort de ce succès, l’indo-britannique s’est dit qu’on pouvait ajouter une quatrième offre dans cette lignée. C’est avec le Velar, qui prend place entre l’Evoque et le Range Sport. Pourtant, avec ses 4,8 m de long, il ne se faufile pas, mais pousse littéralement le gros Range Sport (4,85 m) dans le dos, avec l’argument de technologies plus récentes.
- Ligne sculpturale
- Habitacle bien fini et soigné
- Confort global de marche et comportement
- Habitabilité correcte
- Capacités réelles en franchissement
- D240 bruyant en charge
- Endurance des freins
- Désembuage malaisé sans climatisation
- Illogismes dans la double interface tactile
- Direction peu communicative
Dans cet article : Land Rover, Land Rover Range rover velar
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