Essai détaillé / Opel Astra OPC
Sous l'insigne OPC, la sage Opel Astra GTC se mue en sportive déchaînée. Avec 280 ch sur le nez et un train avant seul désigné pour charger, cette traction sauvage méritait bien un essai vérité.
- Avis Rédaction 15.00 /20
La plus puissante des Astra calque aujourd'hui son châssis sur celui d'une 3 portes GTC. Légèrement plus évolué que celui d'une 5 portes, notamment en ce qui concerne le train avant, avec des jambes McPherson à pivots découplés, celui-ci se pose toujours à l'arrière sur un essieu de torsion à guidage renforcé par un parallélogramme de Watt, une solution originale souvent utilisée en compétition et dont l'OPC n'allait évidemment pas se passer. Sous le capot de cette Astra très spéciale, c'est toujours un 2.0 à 16 soupapes qui officie. Lointain descendant de celui de la toute première Kadett GSi 16V (150 ch), ce nouveau moteur tout en alu reste fidèle à la cylindrée initiale et à l'architecture supercarrée (même cote d'alésage et de course) de son ancêtre, mais y ajoute des périphériques modernes comme le calage variable des arbres à cames, l'injection directe ou encore la suralimentation.
- Présentation affirmée, look féroce
- Mécanique de caractère, sonorité plaisante
- Compromis confort/tenue de route appréciable
- Freins mordants et endurants
- Position de conduite, maintien des sièges
- Rapport prix/prestations-équipement
- Puissance élevée..performances en recul !
- Motricité toujours délicate au démarrage
- Commande de boîte en conduite dynamique
- Visibilité périphérique pénalisante
- Poids élevé, nuisible aux performances
- Consommation à surveiller
Dans cet article : Opel, Opel Astra
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