- Avis Rédaction 15.27 /20
L’hybridation est devenue un incontournable. D’autant plus que, dans les années à venir, les constructeurs vont de plus en plus se détourner du Diesel, trop difficile à dépolluer pour un coût raisonnable. Selon une étude récente d’AlixPartners, le Diesel ne représentera plus que 9% des ventes en 2030, contre environ 50% aujourd’hui. A leur place, ce sont les moteurs à essence, électriques, mais surtout hybrides et hybrides rechargeables qui vont se développer. Les prévisions parlent d’elles-mêmes: à l’horizon 2030, on devrait compter 28% d’hybrides à essence, 25% d’essence, 20% d’électriques et 18% d’hybrides rechargeables. Au sein de cette répartition, ces dernières sont d’ailleurs particulièrement intéressantes, car, dans le schéma des normes actuelles, elles permettent d’effectuer une grosse partie du cycle d’homologation au moyen de leur seule batterie. De ce fait, elles peuvent afficher des consommations et rejets particulièrement faibles tout en faisant chuter la moyenne des émissions de CO2 de la gamme d’un constructeur, une donnée de plus en plus sévèrement règlementée par l’Europe (95 g/km en 2020). Du coup, tout le monde y va de sa proposition, dont Audi, qui introduit son Q7 e-tron doté d’une grosse batterie de 17,3 kWh et... d’un moteur Diesel. Certes, d’aucuns trouveront ce choix curieux à l’heure où Mercedes ou PSA abandonnent ce type d’hybridation. Mais cela s’explique: la mise au point de cet e-tron a été entamée bien avant l’affaire du logiciel truqueur et la disgrâce du moteur Diesel qu’elle a précipitée...
- Hybridation réussie
- Autonomie 100% électrique
- Performances étonnantes
- Consommation
- Confort de marche
- Poids (2,7 tonnes!)
- Comportement pataud (poids)
- Prix élevé
- Plus de version 7 places
- Maintien latéral des sièges AV
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