L’arrivée des Peugeot 508 et Volkswagen Passat VII (en fait, qu’une «VI» restylée) n’est pas passée inaperçue au sein du segment D. Ces deux modèles sont les best-sellers de leur catégorie, et plus encore lorsqu’il s’agit des variantes breaks qui, en Europe de l’Ouest, représentent environ 60% des ventes. Nous avons donc décidé de leur faire croiser le fer, tout en les confrontant à leurs principales concurrentes, toutes mues par un Diesel de 130 à 140 ch.
Certes, la nouvelle génération de 1.6 Diesel à basse consommation gagne sans cesse du terrain dans ce segment, mais opter pour cette cylindrée nous aurait obligés à nous passer de la très prisée Opel Insignia, «Voiture de l’Année» 2009 et favorite des conducteurs de voitures de société. Car en Diesel, le break allemand n’existe qu’en 2 litres. Ajoutons que Ford n’a pas été en mesure de mettre à notre disposition une Mondeo 2.0 TDCi 136. C’est d’autant plus regrettable qu’outre son succès commercial, ce modèle se distingue par une habitabilité et un coffre très généreux, un comportement dynamiques et un tarif plutôt intéressant. Dommage, donc…
Attardons-nous plutôt sur la Peugeot 508 et sa cousine la Citroën C5, qui partagent la même plate-forme, mais se distinguent par leur suspension: là où les autres font appel à des ressorts et amortisseurs classiques, la C5 propose un dispositif hydropneumatique unique dans cette catégorie. Enfin, notons la présence de la Renault Laguna Grandtour, récemment remise à jour.
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