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A l'instar de son modèle, la Mini, cette Swift aime la personnalisation. En témoigne la disponibilité d’un toit contrasté, d’un tableau de bord bicolore et d’une palette de teintes pastel. Avec ses formes plus douces, cette 7e génération vise aussi un public plus féminin. Elle s’éloigne donc un peu du côté racé de l’ancienne Sport.
À bord, c’est moins lifestyle : pas d’accoudoir, des cadrans analogiques, un ordinateur de bord avec commande par tigette ancestrale et une banquette arrière exiguë. Bref, c’est vieux jeu. Et si le coffre de 265 litres autorise désormais une visite au supermarché, il ne pourra toujours stocker de grandes provisions. En rabattant les dossiers arrière, le volume peut être porté à 980 litres, mais le plancher de chargement n’est pas totalement plan.
Sous le capot, un seul choix : le nouveau tricylindre micro-hybridé de 82 ch. Une puissance suffisante vu le poids plume de cette Swift. Et, grâce à l’excellent rendement énergétique (de près de 40%), il est possible de reproduire dans la réalité la faible consommation normalisée WLTP annoncée. Boîte manuelle ou pas, le comportement routier est plus proche de celui d’une Polo que de la Mini : c’est efficace mais peu enthousiasmant. Et la direction est trop légère.
Cette Swift de dernière génération est une voiture efficace et efficiente, mais elle n’atteindra pas le statut d’icône car elle ne sort pas du lot. Elle semble trop policée. Une Mini reste nettement plus audacieuse et charmeuse.