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Le CX-30 est plutôt stylé, dehors comme dedans: l’habitacle s’inspire de celui de la dernière Mazda 3. On note le joli petit volant et un levier de vitesses placé assez haut sur la console centrale, pour une bonne prise en main. Côté coffre, la contenance (430 litres banquette en place) est assez moyenne pour le segment. Une Peugeot 3008 fait nettement mieux (520 litres). À l’arrière, pas de banquette coulissante, mais l’espace pour les jambes est très correct et la garde au toit généreuse, malgré la poupe effilée.
Sous le capot, on ne trouve désormais plus que des mécaniques à essence. La gamme s’articule autour du bloc 2 litres de 122 ou 186 ch. Il s’agit en l’occurrence d’un moteur atmosphérique (sans turbo, donc), ce qui demande un petit temps d’adaptation car il est moins costaud à bas régimes que les moteurs turbos. Il faudra donc retrouver le réflexe de jouer du levier de vitesses en reprises, ce qui n’a rien d’une punition vu la qualité de la commande. Une boîte automatique est par ailleurs disponible. De manière générale, ce SUV Mazda est très doux à conduire et affiche une tenue de route réjouissante (train avant tranchant, peu de roulis). Ce SUV routier peut aussi disposer d’une transmission intégrale (sur 186 ch uniquement).
Le look original, la qualité de vie à bord et le comportement routier sont les grands atouts du CX-30, qui se pose comme donc une alternative intéressante dans un segment assez formaté. Les moteurs à essence sont peu coupleux, mais agréablement doux.