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Esthétiquement, ce Doblo de troisième génération ne surprend pas; il ne fait pas beaucoup d’efforts pour se distinguer de ses cousins techniques du groupe Stellantis que sont les Peugeot Partner, Citroën Berlingo, Opel Combo, auxquels il faut ajouter le Toyota ProAce City Verso. D’accord, il y a ici d’autres priorités, comme le grand coffre, les énormes compartiments de rangement et la double porte coulissante, mais nous aurions tout de même aimé une petite dose de style italien. Tout comme celui ses cousins, le coffre est énorme et pratique à charger, pouvant embarquer jusqu’à 3 mètres cubes de bagages banquette rabattue, sur un plancher parfaitement plat. Qu’est ce qu’une famille peut demander de plus? Un bon vieux moteur thermique!
Car avec un prix de base de 40.000 €, le Doblo électrique est trop cher pour beaucoup de ménages. D’où l’intérêt des versions thermiques. Pour la boîte automatique, il faut impérativement se tourner vers le Diesel le plus costaud (130 ch); le 1.2 à essence de 110 ch (24.505 €) se contente d’une boite 6 manuelle. Et ici pas de version Diesel 100 ch pourtant proposée chez les cousins. Avec de nombreux systèmes de sécurité, l’équipement de base n’est pas dépouillé, mais vous devrez commander l’un des packs si vous souhaitez, par exemple, la lunette arrière à ouverture séparée (Magic Window), l’écran tactile de 10’’ ou les sièges arrière séparés permettant d’installer trois sièges d’enfant. Le confort de suspension du Doblo est bon, même si l’essieu arrière est un peu sec à basse vitesse.
Le choix de tel ou tel ludospace du groupe Stellantis dépendra souvent de la proximité d’un concessionnaire ou de la ristourne obtenue. Et il n’y a vraiment que si vous désirez le Diesel de 100 ch que vous écarterez d’office ce Doblo.