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Premier essai / Nissan Qashqai 1.2 DIG-T

Phénomène automobile de ces dernières années, le Nissan Qasqhai se renouvelle du tout au tout. Mais en se gardant bien de renier les qualités qui ont fait son incroyable succès.

Prix
NC

Si la dernière GT-R a enflammé la toile avec son chrono sur le Nürburgring, c’est bien le Qashqai qui a enflammé les ventes de Nissan. Et pas qu’un peu: depuis 2007, ce crossover – qui avait pour tâche de succéder aux vieillissantes Almera et Primera – est devenu une véritable mascotte, qui s’est écoulée à plus de 2 millions d’exemplaires, dont 1,5 million pour la seule Europe. Avec pareil succès, il était évident que Nissan allait marcher sur des œufs pour son remplacement. Et qu’il n’allait surtout rien lui refuser. Car, de l’aveu même de Carlos Ghosn, qui assurait la présentation du nouveau venu dans les prestigieux studios de cinéma londonien de Tree Miles Island, «on ne refuse rien à une icône». Ça semble évident, surtout lorsque l’icône en question est en or massif. Reste que, si le nouveau Qashqai se doit d’entretenir le vivier de clients amassé par son prédécesseur, il devra aussi faire mieux d’un point de vue commercial. Ce qui n’est pas forcément gagné quand on sait l’essor que connaît actuellement la catégorie des crossovers de milieu de gamme. Mais pour Carlos Ghosn, ça ne fait à nouveau pas l’ombre d’un doute, car il estime que son bébé redéfinit une nouvelle fois son segment par ses progrès en matière d’équipement, de confort, de sécurité et de connectivité. Optimiste? Voyons voir.

Si la dernière GT-R a enflammé la toile avec son chrono sur le Nürburgring, c’est bien le Qashqai qui a enflammé les ventes de Nissan. Et pas qu’un peu: depuis 2007, ce crossover – qui avait pour tâche de succéder aux vieillissantes Almera et Primera – est devenu une véritable mascotte, qui s’est écoulée à plus de 2 millions d’exemplaires, dont 1,5 million pour la seule Europe. Avec pareil succès, il était évident que Nissan allait marcher sur des œufs pour son remplacement. Et qu’il n’allait surtout rien lui refuser. Car, de l’aveu même de Carlos Ghosn, qui assurait la présentation du nouveau venu dans les prestigieux studios de cinéma londonien de Tree Miles Island, «on ne refuse rien à une icône». Ça semble évident, surtout lorsque l’icône en question est en or massif. Reste que, si le nouveau Qashqai se doit d’entretenir le vivier de clients amassé par son prédécesseur, il devra aussi faire mieux d’un point de vue commercial. Ce qui n’est pas forcément gagné quand on sait l’essor que connaît actuellement la catégorie des crossovers de milieu de gamme. Mais pour Carlos Ghosn, ça ne fait à nouveau pas l’ombre d’un doute, car il estime que son bébé redéfinit une nouvelle fois son segment par ses progrès en matière d’équipement, de confort, de sécurité et de connectivité. Optimiste? Voyons voir.

Dans cet article : Nissan, Nissan Qashqai

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