Premier essai / Mercedes Classe R

Il s'agit d'une voiture essentielle d'abord conçue pour transporter jusqu'à 7 passagers. Grâce à ses sièges individuels modulaires, elle offre plusieurs configurations d'habitacle en un. Comme un monospace sans être un monospace, notamment grâce à sa silhouette plus basse et élégante... Autour de la boîte automatique à 7 rapports, encore améliorée, les moteurs V6 et V8 à essence sont reconduits tels quels, alors que la gamme V6 Diesel a la primeur de la nouvelle version locomotive 350 CDI 4Matic de 265 ch (au lieu de 224) et de 620 Nm (soit 110 de mieux!) consommant 0,8 l/100 de moins. À côté de la 350 Bluetec (211 ch) dépolluée par un système AdBlue® et, de ce fait, déjà badgée Euro 6, les deux autres variantes (350 CDI de 165 ch et 300 CDI BlueEfficiency de 190 ch) se conforment désormais à la norme Euro 5.

Inutile, donc, de revoir en profondeur un concept qui marche. Surtout que le standard de qualité Mercedes était déjà atteint. N'ont donc évolué que la face avant (dont le capot rehaussé pour mieux répondre au crash-test «piéton»), les rétros (accueillant le cligno d'angle mort) et le verre des feux arrière. Sans oublier la mise à jour de l'équipement qui pourrait à elle seule justifier un essai plus détaillé.