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Premier essai / McLaren 650S Coupé et Spider

McLaren fait coup double avec sa 650S, qu'il lance simultanément en Coupé et Spider. Un tir groupé qui touche la caste sportive de plein fouet... Et si les Anglais avaient élu une nouvelle reine ?

Prix
NC

Fort de son expérience avec la 12C, qui s'est écoulée dans les proportions de 1 Coupé pour 3 Spider, le constructeur britannique a jugé judicieux de lancer ses 650S Coupé et Spider en même temps, que les responsables de la marque présentent comme un savant mélange entre la 12C et l'Hypercar P1. On retrouve également le 3.8 V8 biturbo de la 12C. Il délivre ici 650 ch et 678 Nm, soit 25 ch et 78 Nm supplémentaires délivrés à respectivement 7250 et 6000 tr/min - comme si elle en avait besoin ! Si l'on a bien suivi, la 650S est en quelque sorte une 12C, affûtée et peaufinée avec soin. Bref, tout ce qu'il manquait à cette dernière... selon la presse britannique. Pourtant, la 12C a cloué le bec à plus d'un monstre débordant de puissance, tout en se montrant la plus utilisable au quotidien.

D'habitude, les supercars sont difficiles à appréhender, ne serait-ce que par leur puissance démesurée. Ici, malgré les 650 ch et 678 Nm à transmettre à la route par les seules roues arrière, la 650S s'apprivoise aussi facilement qu'une GTI, trois fois moins puissante ! C'en est presque déroutant, cette sensation de légèreté du train avant, sur lequel on semble être assis grâce au poste de conduite avancé. Ce qui offre une excellente visibilité. Le poste avancé offre ici une excellente visibilité sur l'ensemble de la devanture, de sorte, que l'on a l'impression d'être le nez dans le guidon d'une moto supersportive. Un écran 16:9 pour apprécier les microdérives que manifeste la 650S lorsqu'on saute de courbe en courbe à la cadence supersonique. Un rythme effréné dont on prend conscience lorsqu'on profite d'un bout de ligne droite pour jeter un oeil au compteur. Le V8 ne cesse jamais de pousser... toujours avec la même vigueur !

Il est vrai qu'en jetant un coup d'oeil à la fiche technique, le fait de constater les mêmes empattement et voies, des proportions extérieures quasi similaires ou encore le même groupe motopropulseur débridé de quelques chevaux, on a tendance à voir dans la 650S un restylage prématuré de la 12C, dont McLaren vient de décider d'arrêter la production. Mais on pèse nos mots quand on voit les évolutions stylistiques et technologiques qui séparent les 12C et 650S. Et puis, si la base est bonne, pourquoi changer ? Plus affûtée et surtout moins «transparente», la 650S fait clairement encore mieux que la 12C. Mais elle coûte aussi à la grosse louche 30.000 euros de plus que cette dernière. Et pour profiter de ses qualités au grand air, il faudra encore ajouter 25.000 euros pour obtenir la version Spider. Nous, on commence à épargner...

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1573 du 16 avril 2014.

Dans cet article : McLaren, McLaren 650S

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