- Avis Rédaction 14.96 /20
À l'inverse de la Golf, qui fut très innovante en 1974 - c'était l'une des premières tractions avant bicorps (à hayon) - dans son segment, la Polo s'est contentée de suivre dans le sien, dans le sillage de la Fiat 127 (1971) et de la Renault 5 (1972), juste devant la Ford Fiesta (1976). Ce deuxième pilier de la gamme VW n'en demeure pas moins une protagoniste de choc, plus discrète et stylistiquement posée que ses proches rivales, certes, mais nettement plus constante question image de marque, toujours aussi solide observée sous l'angle de la qualité perçue et, surtout, sensiblement plus riche en contenu primordial, des aides à la conduite aux sacro-saints équipements sécuritaires. Elle étrenne donc de série le freinage d'urgence «antidistraction » Front Assist. Pourquoi en serait-il autrement si même la Up a le sien ? De même que la Polo «V phase 2» découvre le raffinement d'une suspension pilotée sport Select - en option sur Sportline et Blue GT uniquement - comme l'a fait avant elle la Golf VII. Voilà tout le sérieux allemand remis au goût du jour et reconcentré en entrée de gamme.
- Équipement sécuritaire vraiment up-to-date
- Équipement d'agrément à la page
- Moteur TSI résolument moderne
- Consommation en conduite relax
- Pratique: plancher de coffre à 2 niveaux
- Pseudo-lifting (sympa pour qui a l'ancienne)
- 1.2 à prix rondouillard (20.000 euros !)
- Politique d'options (sciemment) compliquée
- Le 1.2 sera ombragé par le 3 cyl1.0 TSI !
- Shocking: revers d'assise AR non revêtu !
- Pseudo-lifting: frein à l'achat de la New Polo
Dans cet article : Volkswagen, Volkswagen Polo