- Avis Rédaction 14.57 /20
Après l’Auris (2010) et la Yaris (2012), le RAV4 est la troisième Toyota de la gamme courante à être hybridée par un système HSD du type de ceux qui animent le clan Prius (berline et Grand Prius+), modèle qui ne connaît pas d’autre motorisation. Nous n’évoquons ici que la gamme vendue et/ou produite en Europe, à l’exclusion des Toyota/Lexus américaines et japonaises, bien plus nombreuses à avoir bénéficié de cette bimotorisation essence/électricité, plébiscitée sur ces gros marchés-là. Chez nous, la formule a fait et continue à convertir des adeptes. Ceux-ci se recrutent chez les particuliers «écoconscients» ou dans les flottes (de taxis notamment). L’engouement – médiatique et fiscalement motivé – pour les hybrides rechargeables (plug-in ou PHEV, en anglais), plus performants et chers, émettant 2 fois moins de CO2 (sur le papier!), n’a pas l’air de rogner la part de marché de Toyota/Lexus.
- Bilan conso/CO2 flatteur pour un 2,5 litres!
- Agrément en ville et sur parcours varié
- Niveau sonore en conduite coulée
- Facilité de conduite et de prise en main
- Offre unique dans le segment (avec le NX)!
- Finition et équipement de série
- Fiscalité défavorable (cylindrée importante)
- Suspension mal amortie
- Comportement placide (pour les excités...)
- Logique d’équipement contraignante
- Assise un peu haute, volant un peu bas…
- Poids remorquable limité en 2WD (800 kg)
Dans cet article : Toyota, Toyota RAV4
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