- Avis Rédaction 14.98 /20
Forte de sa réussite et de son premier véritable restylage, la nouvelle Insignia nous revient logiquement plus candidate que jamais pour décrocher la timbale du plus «premium» des modèles de grande diffusion, sans pour autant trop s'écarter du tarif de généraliste pratiqué jusqu'ici. Pour y arriver, elle propose les équipements les plus up to date - notamment en infodivertissement - et un effort de présentation qui cherchent à la hisser un peu au-dessus de sa classe. Son modus operandi consiste à se servir dans la très large banque d'équipements et des sous-traitants de General Motors, avec laquelle la synergie n'a - contrairement à ce que la crise de 2009 et le largage d'Opel par le géant en difficulté avait laissé supposer - jamais été aussi forte. Ajouter du contenu, c'est aussi multiplier les genres. Le meilleur exemple vient de la Country Tourer, une Sports Tourer à suspension rehaussée habillée à la façon d'un crossover comme ceux qu'on peut voir fleurir ailleurs. La connotation «temps libre» du modèle s'en voit renforcée. Les vrais loisirs étant le privilège des breaks de prestige, l'Insignia s'en voit dès lors tout auréolée.
- Confort de marche (suspension, habitacle)
- Châssis et comportement efficaces
- Équipement très actuel et assez raffiné
- Présentation élégante, finition sérieuse
- Hayon motorisé réglable sur 3 hauteurs
- Pléthore d'options jamais très chères
- Bruyante en kickdown et accélération
- Boîte auto lente accolée à ce Diesel de feu
- Diesel bruyant à froid
- Certains instruments et affichages gadgets
- Pavé et écran tactiles déroutants
- TMC (Wallonie-BXL, mais aussi Flandre)
Dans cet article : Opel, Opel Insignia