Le salon de Genève 2019 sera donc le dernier à être présenté sous cette forme. Car si le salon de Genève est l’un des plus reconnus du monde en termes de prestige, il se doit aussi d’évoluer comme l’indique le directeur actuel, André Hefti, qui passera ses pouvoirs à Olivier Rihs pour l’édition 2020.
Plusieurs pistes
Il va de soi quand le numérique et les nouvelles formes de mobilité occuperont une place de plus en plus importante dans les années qui viennent. Tout comme les énergies alternatives. De ce fait, les pistes d’évolution pour le salon sont nombreuses. « Même si nous sommes considérés comme un salon classique, apprécié pour cela, (nous devons) évoluer en développant la numérisation, notamment pour améliorer la communication » a indiqué la direction du salon.
Des absences
Il faut aussi dire que les choses évoluent aussi dans les rangs des constructeurs. Certains d’entre eux boudent par exemple de plus en plus souvent certains salons. Ce qui est par exemple le cas de Hyundai cette année. Cela dit, les défections n’effrayent pas la direction outre mesure. Mais il faut évoluer avec son temps. Et il n’a certainement pas échappé aux responsables que de plus en plus de marques prennent part à des événements résolument tournés vers le numérique, comme le CES de Las Vegas ou, le week-end prochain, le World Mobile Congress de Barcelone.
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