La négociation a été difficile, notamment par la période hivernale et les réticences de la Russie, mais les pays de l’OPEP et Moscou se sont entendus pour réduire la production mondiale de pétrole de 1,2 million de baril par jour. Vu leurs difficultés, l’Iran, la Libye et le Venezuela ne sont pas concernées par l’accord. Cette opération vise à enrayer la baisse des prix du pétrole sur les marchés. Le cours du baril Brent était en effet sous la barre des 60 dollars. En tout cas, suite à l’annonce, le Brent a pris 1,6 dollar d’un coup. Pour tenter de ramener les cours au-delà des 70 $, ces pays producteurs devraient fermer un peu le robinet jusqu’au 3e trimestre de 2019 au moins. Une action contrecarrée par les francs-tireurs comme les États-Unis, non-membres de l’OPEP. Leur production crée une surcapacité, d’autant que la demande régresse quelque peu.
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