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Premier essai / Toyota Mirai

La Toyota Mirai n’est pas la première voiture à hydrogène disponible sur le marché: Hyundai a été un rien plus rapide. Le numéro un mondial semble cependant avoir plus d’ambitions que le Coréen.

À première vue, cela paraît assez incroyable, mais en fait, le projet de pile à combustible a démarré en même temps que celui de l’hybride Prius… en 1994, soit voici plus de 20 ans! La Mirai est une grande berline (du format des Audi A6, BMW Série 5 et autres Mercedes Classe E) aux formes pour le moins… particulières. Impossible de passer à côté sans la voir. Mais c’était aussi le but, sans compter que la pile à combustible requiert un refroidissement important. D’où les énormes bouches d’aération alimentant le système de refroidissement ainsi que la pile à combustible. La pile à combustible est disposée sous les sièges des occupants avant, tandis que c’est sous la banquette et entre les roues arrière que prennent place les deux réservoirs d’hydrogène, chacun de 60 l. Ensemble, ils pèsent environ 90 kg. L’hydrogène y est stocké sous une pression de 700 bars. Toutes les précautions ont été prises pour que ces réservoirs soient parfaitement hermétiques.

  • Aucun rejet gazeux nocif
  • Agrément de conduite
  • Confort global
  • Tarif
  • Look spécial
  • Pas d'infrastructure de ravitaillement

Nous avons pu effectuer un premier et bref essai. L’habitacle est spacieux, ses formes reflètent bien les lignes anguleuses de la carrosserie. L’instrumentation est numérique et concentrée au centre de la voiture. En environnement urbain, les déplacements sont presque totalement silencieux et très vifs, tant à l’accélération qu’en reprises, ici aussi, comme une voiture électrique classique. Sur les routes et autoroutes, une différence est cependant perceptible, notamment lorsque l’on demande subitement davantage de puissance : vu que la batterie (nickel-métal hydrure comme celle d’une Prius) ne présente qu’une faible capacité (1,6 kWh), la pile à combustible est immédiatement sollicitée afin de délivrer autant d’électricité que faire se peut. Dès cet instant, le fonctionnement de l’onduleur et de la pompe à air s’entend très nettement.

Notre verdict

Cerise sur le gâteau, il nous a été possible de faire le plein d’hydrogène dans une station située juste à côté d’un centre d’épuration d’eau. Une disposition qui n’est pas le fruit du hasard: l’épuration de l’eau libère de l’hydrogène. Celui-ci est traité et filtré, puis stocké dans les réservoirs de la station-service. Ou comment le traitement des déchets peut réserver d’agréables surprises.

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