1. Une autonomie largement suffisante
L’obstacle qui revient le plus souvent au sujet de la voiture électrique concerne son autonomie. Ses détracteurs sont convaincus qu’il est impossible de se lancer dans un grand trajet. Ou pire: qu’il faudrait systématiquement la recharger entre deux sorties. C’est faux. Le nouveau ŠKODA ENYAQ iV est proposé avec deux batteries qui permettent de répondre à chaque besoin individuel: l’autonomie oscille entre 413 et 520 km (WLTP) selon que l’on se tourne vers la version 60 (62 kWh) ou 80 (82 kWh). N’est-ce pas suffisant et, en tout cas, similaire à ce que les voitures thermiques proposent, elles qui, pour économiser du poids et des grammes de CO2, sont désormais livrées avec des microréservoirs? En outre, l’enquête Monitor menée auprès de plus de 10.000 Belges a récemment montré qu’un(e) automobiliste parcourait en moyenne 35 km par jour et que 1 trajet sur 4 ne dépassait pas... 5 km!
Voilà une réalité qui démontre que le ŠKODA ENYAQ iV peut être utilisé plusieurs jours d’affilée sans nécessiter la moindre recharge. Avec l’ENYAQ iV, l’autonomie est de surcroît d’autant plus longue que l’on peut optimiser la puissance de régénération au freinage: soit en déterminant la puissance de régénération souhaitée au moyen des palettes placées derrière le volant, soit en activant le mode «B» qui permet alors une conduite à une seule pédale (one pedal), le niveau de régénération étant porté à son maximum, ce qui permet du coup de ne plus rien perdre en autonomie lorsqu’on roule en ville. En outre, le programme EDI – Electric by D’Ieteren – met à disposition un écosystème complet de services de recharge: bornes de recharge pour votre domicile ou votre entreprise et cartes de recharge permettant d’accéder au plus vaste réseau de bornes publiques d’Europe (25 pays) sans oublier l’audit, l’installation, l’entretien et l’application de gestion EDI Charging à la fois simple et pratique. Comme souvent, tout est dans la tête...
2. Un vrai avantage écologique
«Une voiture électrique, ça pollue plus qu’une voiture thermique en raison de sa batterie ou de l’électricité qu’on y stocke»: combien de fois n’avons-nous pas entendu ce type d’allégation? Plutôt que de dénoncer, il vaut mieux comparer, car les choses apparaissent alors beaucoup plus claires. S’il est vrai que la batterie constitue le coût carbone le plus important d’un VE (3/4), il est bien moins élevé qu’on ne le pense. Le fameux organisme militant Transport & Environnement (T&E), qui dissèque méticuleusement les empreintes CO2, ne dit pas autre chose: ses spécialistes ont mis en exergue que les voitures électriques remboursaient leur «dette carbone» issue de la production de la batterie en un peu plus d'un an et qu’elles économisaient plus de 30 tonnes de CO2 sur leur durée de vie par rapport à une voiture thermique conventionnelle. Et ces calculs tiennent aussi compte de la nature de l’électricité.
Là encore, T&E est explicite: la voiture électrique émettra en moyenne en Europe trois fois moins de CO2 lors de son usage que son équivalent thermique (pour laquelle on ne comptabilise d’ailleurs pas le processus extraction/raffinage/transport du carburant), un ratio qui vaut aussi pour la Belgique. Mieux: dans le pire des cas, explique encore T&E, une voiture électrique équipée d'une batterie fabriquée en Chine et qui roule en Pologne (qui produit une grande part de son électricité avec du charbon) émettra 22% de CO2 en moins qu'une voiture Diesel et 28% de CO2 en moins qu'une à essence. Et comme les batteries du ŠKODA ENYAQ iV sont produites en Europe dans le respect des règles les plus strictes et dans des usines neutres en CO2... Voilà encore un mythe enterré!
3. Une fiscalité douce sur le long terme
Ça n’aura échappé à personne: le Gouvernement belge a décidé qu’à partir de 2026, seules les voitures neutres en carbone (les électriques donc) seront déductibles fiscalement à 100%. Cette nouvelle législation va donc réduire à néant l’intérêt d’une voiture thermique, essence ou Diesel, dont les taux de déductibilité vont d’ailleurs s’effondrer: le plafond sera ramené à 75% en 2025, 50% en 2026, 25% en 2027 et à... zéro en 2028. Autant le savoir. Partant, il est évident qu’acquérir un ŠKODA ENYAQ iV dès à présent constitue un choix intelligent: d’une part parce qu’on bénéficiera d’une déductibilité maximale sur toute la durée de vie de la voiture et, d’autre part, parce que la valeur de l’ENYAQ iV va se maintenir – voire croître – dans les années à venir, au contraire de celle des voitures thermiques qui va, elle, s’écrouler en raison d’une demande «consommateurs» totalement inversée. Même le pire cancre en mathématique aura saisi l’avantage de l’opération!
4. Une liberté totale de circulation
Si la voiture était synonyme de liberté, c’est en fait de moins en moins le cas. En tout cas pour les modèles à essence ou Diesel, qui sont littéralement chassés des centres-villes. Déjà connues à Bruxelles, Anvers, Gand, Malines et bientôt à Liège, Namur et Eupen, les zones de basses émissions vont à coup sûr se multiplier dans les années à venir, mais aussi grignoter toujours plus de surfaces là où elles ont déjà été mises en place. Ce problème n’est évidemment pas connu du ŠKODA ENYAQ iV qui, avec sa motorisation 100% électrique, peut se rendre sans restriction partout, à toute heure du jour ou de la nuit, y compris dans les autres pays qui ont parfois des législations encore plus contraignantes que les nôtres en la matière. Dès lors, pour autant qu’elle soit aujourd’hui électrique, ma voiture reste ma liberté!
5. Une conduite reposante et performante
Une enquête menée par Rossel Research indique enfin que 97% des personnes ayant utilisé une voiture électrique placent son silence de fonctionnement comme première qualité. Et c’est logique: pas de moteur thermique, plus de pièces en mouvement et donc pas de vibrations. La voiture électrique est un lieu de quiétude absolu où on se surprend même à parler moins fort, mais aussi à trouver dans ces voyages des moments de ressourcement. Cette atmosphère relaxante est celle du ŠKODA ENYAQ iV, lequel soigne également l’isolation à toutes les autres sources de bruit, tant sur le plan de l’aérodynamique que des roulements.
Choisir le ŠKODA ENYAQ iV, c’est donc tout cela à la fois: retrouver le plaisir de voyager sans limites et dans le respect de l’environnement, le tout avec une autonomie impressionnante, une remarquable flexibilité et un coût d’utilisation imbattable. Dès lors, pourquoi encore attendre?
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